Le ministre du tourisme, Hacène Mermouri devra effectuer demain mardi une visite d’inspection au complexe touristique de Sidi Fredj, accompagné du wali d’Alger, Abelkader Zoukh.
Lors de cette visite, des gens très influents ont décidé de tout cacher au ministre du secteur.
Le massacre le plus apparent, on essaye de le cacher: des travailleurs de la société turque, affectés aux travaux du centre de Thalassothérapie, ont été déployés au projet de rénovation de l’hôtel El Marsa, dont les travaux sont à l’arrêt.
La cause principale de cet arrêt est l’absence d’un Bureau d’Etudes pour l’élaboration des plans d’exécutions et leur suivi.
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Le Berep (organisme public algérien) et cinq Bureaux d’Etudes français avaient été renvoyés pour n’avoir pas respecté les délais contractuels (12 mois). L’EGT Sidi Fredj devra choisir parmi les candidats nationaux qui ont postulé à la succession du groupement Berep-français.
On apprend qu’un conseil d’administration est prévu pour le 14 septembre pour statuer sur cette question.
Lors de sa visite à Sidi Fredj, le ministre du tourisme devra rencontrer un se prononcer sur le cas du président de l’EGT, en l’occurrence Rachid Gasmi. Ce retraité de la Safex, occupe le poste depuis février dernier avec un salaire de base mensuel de 204.000 dinars avec toutes les primes associées au poste, dont celle du véhicule alors qu’une voiture avec chauffeur lui ont été affectés.
Le ministre devra demander des explications sur la nomination au poste du port, de trois responsables en l’espace de trois mois seulement.
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