Depuis sa nomination à la tête du Gouvernement, Ahmed Ouyahia a aligné les erreurs, l’une après l’autre, pour se retrouver enfin devant la porte de sortie.
- Les excuses présentées à l’Arabie Saoudite, suite à la banderole des supporters de l’AS Ain M’lila.
- Son obsession à privatiser les entreprises publiques dans le cadre de ce qu’il appelle PPP.
- Sa proximité avec Ali Haddad, qui retrouve son statut de VIP auprès de l’administration.
- La situation de monopole qu’il a créé, en n’accordant que dix autorisations pour le montage des véhicules et camions, éliminant par la même occasion les concessionnaires traditionnels.
- En dehors d’Alger, Ouyahia s’est affiché seulement dans le cadre des activités de Sonatrach. Une fois à Arzew et une autre à Adrar.
- Les décisions qu’il a prises au niveau du CPE pour empêcher les ministres de procéder à des nominations, sans son accord préalable.