La décision du ministre Mustapha Guitouni à l’encontre du chef de projet de la raffinerie d’Alger laisse penser qu’il y a deux poids et deux mesures vis à vis des retards constatés dans les projets.
E avril dernier, ce même Guitouni, qui était alors P-dg de la Sonelgaz, a été témoin du même constat de retard dans la réalisation de la centrale électrique de Boutlelis (Oran). Mais, aucune sanction n’a été prononcée à l’égard des responsables de ce retard.
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