Les réalisations du secteur de la communication en Algérie ont été mises en lumière dans le livre récemment publié par le Centre national de documentation, de presse, d’image et d’information (SNDPI), intitulé «Le secteur de la communication : 60 ans de réalisations». Cet ouvrage met en évidence les étapes-clés traversées par le secteur des médias depuis l’indépendance, soulignant les réalisations majeures sur le plan textuel et imagé.
Le livre «Le secteur de la communication : 60 ans de réalisations» témoigne de l’évolution et des succès du secteur des médias en Algérie depuis l’indépendance. Il met en valeur le rôle crucial des médias dans la lutte pour la liberté et l’indépendance, ainsi que dans la construction d’une société démocratique et ouverte.
Pendant la période coloniale, les médias algériens ont joué un rôle essentiel dans la résistance contre le colonisateur en encourageant la lutte et en mettant en avant l’importance de préserver l’identité nationale. Après l’indépendance, l’Algérie a pris des décisions politiques importantes pour transférer la gestion des médias aux autorités nationales et les confier aux Algériens eux-mêmes. De nombreux journaux et magazines ont alors vu le jour, couvrant tous les aspects de la nouvelle vie en Algérie.
Les années 1990 ont été marquées par une diversité de journaux en Algérie, reflétant la pluralité politique et partisane du pays. L’avènement des technologies de l’information et de la communication a ensuite joué un rôle crucial dans la vie des individus et des sociétés, poussant les médias à procéder à une mise à jour globale pour suivre les évolutions rapides dans ce domaine.
L’arrivée des nouvelles technologies a joué un rôle important dans l’évolution du secteur des médias, permettant de réaliser des accomplissements importants. Les médias traditionnels, tels que la presse écrite et la radiodiffusion, ont accompagné ce développement et vu émerger de nouveaux journaux, magazines et chaînes de télévision qui offrent aux Algériens un accès à une information diversifiée, favorisant ainsi la liberté d’expression et le débat public.
I. K.
