L’ingénieur français de l’énergie Engie a été sanctionné au premier trimestre pour l’effet de confinement trop doux de la température, et il prévoyait d’être plus sélectif dans l’événement en France. La stratégie de simplification annoncée devrait être amplifiée. La CGT s’inquiète de la suppression de 15 000 postes, dont 9 000 en France.
Engie entend être plus sélectif dans l’événement. La stratégie de simplification annoncée devrait être amplifiée. La CGT s’inquiète de la suppression de 15 000 postes, dont 9 000 en France. Quelques mois après le départ controversé de la Directrice Générale Isabelle Kocher, le Groupe Engie entend poursuivre sa transformation et accélérer la simplification de ses activités. Derrière cette stratégie globale, bien que le président Jean-Pierre Clamadieu ait évoqué des ajustements marginaux, les ingénieurs énergétiques pourraient licencier environ 10 000 personnes en France en raison de préoccupations syndicales.
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Le syndicat du groupe Engie a averti le Premier ministre Edouard Philippe de l’annonce de la vente de l’événement, qui a embauché environ 10 000 salariés en France et a demandé à la France d’intervenir sur l’événement « en tant qu’actionnaire de référence ». Le courrier a été envoyé mardi.
Quitter quelques métiers
La nouvelle stratégie de l’organisation tend à se concentrer sur des activités à haute valeur ajoutée, telles que l’efficacité énergétique, la rénovation de bâtiments (publics) ou les villes intelligentes avec des réseaux de chauffage et de refroidissement. « Dans une situation déjà grave, les salariés et les représentants du groupe en France, à travers le communiqué de presse du groupe Engi diffusé par les médias, ont été surpris d’apprendre qu’Engi prévoyait de se séparer de l’événement. En France, environ 10 000 personnes étaient employées Employés « , ont écrit CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT et FO du Groupe Gaz.
Des actifs à vendre
Le syndicat a souligné: « A défaut de vendre ces activités, le groupe a laissé entendre qu’elles les arrêteraient. » Cependant, cela représente environ 13% des effectifs français d’Engie et environ 20 000 emplois indirects en France. « .
« Dans le même temps, le président du conseil d’administration a annoncé » l’intention de reprendre le paiement du dividende « , ce que de nombreux salariés estiment que c’est un sacrifice de travail pour rassurer les actionnaires. La lettre du syndicat, qui précise que Nji » a pleinement bénéficié des aides d’État, notamment C’est par l’utilisation de certaines activités. »
Les syndicats jugent ces annonces contraires à la « prise en compte de la crise sanitaire actuelle » et appellent à « la solidarité économique nationale et européenne, qui doit se concrétiser par des plans d’investissements des grands groupes, tel qu’Engie, pour développer les nouveaux moteurs de la croissance ».
Dans un communiqué le 13 mai, la CGT faisait état de 15 000 salariés dont 9000 en France touchés par ces cessions ou fermetures. La direction avait démenti ces chiffres en soulignant qu’ils ne correspondent « à aucun plan global ou réalité au sein d’Engie ».
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