Contrairement à ce qu’on tente de nous faire croire sur son au sein de l’Opep, l’Algérie ne fait que reculer. Éjectée de premier cercle de la décision depuis qu’elle a perdu la présidence de l’organisation, le rôle de l’Algérie se situe désormais à l’occupation de postes sans incidence sur les destinées de l’Opep.
La semaine dernière, l’Opep a renouvelé le partage de la grande tarte, avec bien sûre les postes clés pour les saoudiens et leurs alliés du CCG. L’Algérie n’a réussi à placer qu’un simple responsable de département.
Il s’agit de Abderrezak Benyoucef, qui a été nommé responsable du département Études de l’énergie.
Benyoucef a été directeur intérimaire des études et de la gestion des connaissances, à l’IAP (Institut Algérien du Pétrole, Sonatrach) depuis novembre 2015.
Alors quand on entend parler du rôle de Boutarfa dans cette organisation, on se pose la question de savoir ce qu’il a apporté à l’Algérie au sein de l’Opep.