Bien que le marché algérien fonctionne avec deux banques (Al Baraka et Al Salam Bank) dites islamiques, l’activité des produits islamique demeure très réduite et ne répond pas aux exigences du contexte financier.
La surprise nous vient ainsi de la Banque Nationale d’Algérie (BNA), qui a lancé une procédure de sélection d’un Bureau d’études en vue de l’assister et de l’accompagner dans le lancement de l’activité de « finance alternative ».
Partout dans le monde de la finance, l’expression « finance alternative » signifie implicitement les produits islamiques.
Ainsi, la BNA se lancera dans l’activité nouvelles sans pour autant procéder à un quelconque changement de ses statuts.