Le e-paiement a été officiellement en Algérie en octobre 2016. Un an plus tard, les 11 banques qui ont adhéré à cette solution de payement électronique n’ont pas encore achevé le processus de mutation.
Bien que le réseau Algérie Poste gère actuellement un parc de 5 millions de cartes CIB, les objectifs n’ont pas encore été atteints.
C’est à ce titre que les français débarqueront en force le 10 septembre prochain à l’occasion de la tenue 2ème Colloque algéro-français sur la monétique et les systèmes de paiement électroniques. Ils auront en face toute la crème de la finance algérienne et les autres institutions in charge du chantier du payement électronique.
Conscients des enjeux et surtout du manque d’expertise en Algérie, les français tenteront de séduire les opérateurs algériens et leur vendre le maximum de solutions.
Aujourd’hui, le payement électronique en Algérie est limité au payement des factures de l’eau, de l’électricité, des billets d’avions et l’assurance.
Avant la promulgation de la loi sur le e-commerce, l’usage du payement électronique reste très faible. Les français veulent être déjà présents en Algérie lors du grand boom de l’e-payement.
