
Nous apprenons de source bien informée que la filiale de Cnpc titulaire du titre 438b est en passe d’être déclarée en faillite judiciaire, mettant ainsi en péril tous les créditeurs locaux qui ont travaillé pour eux dans le cadre du développement du champ 438b.
La Cnpc est coutumière de ces situations en Algérie. La Sonatrach avait déjà du récupérer les actifs de Sbaa et de la raffinerie de Adrar afin de limiter les déboires techniques et de gestion de la Cnpc.
La Cnpc, comme Sinopec, ont eux aussi du solliciter leurs entrées pour masquer leurs échecs récurrents dans l’exploitation pétrolière. Zarzaitine est un carnage technologique signé Sinopec. Des affaires qui font l’objet d’investigations de la part des services spécialisés. Cnpc a déjà mordu la poussière sur la raffinerie d’Adrar où elle adû rendre la propriété de la raffinerie et du champ de Sbaa à Sonatrach.
Il est temps pour l’Algérie d’exiger de meilleures performances de ces partenaires chinois pour qu’ils soient à la hauteur des faveurs légitimes dont ils bénéficient au titre de la fraternité des deux pays.