L’ancien ministre de l’énergie et ex-P-dg de Sonelgaz est resté fidèle à son principe d’associer les entreprises étrangères dans le mégaprojet de production de 4 GW d’électricité à partir du photovoltaïque.
Il a osé répéter cela lors des débats sur le « partage de ce gâteau », organisés par le FCE de Ali Haddad.
Haddad et Boutarfa doivent cesser d’insulter les algériens et surtout les cadres compétents qui travaillent aussi bien dans le secteur public que chez les privés.
On a bien des exemples de l’existence d’un génie algérien dans le photovoltaïque. A l’ENIE de Sidi Bel Abbes, à Condor et d’autres opérateurs algériens, on produit sans complexe, des composantes du photovoltaïque. Ces produits sont largement utilisées par les institutions (agriculture, défense, santé, industrie etc.).
Pourquoi alors vouloir imposer des prédateurs étrangers dans les projets structurants de Sonelgaz?
On veut faire en sorte que l’opérateur étranger débarque en Algérie avec deux sous, constitue une JV et s’assure un financement des banques algériennes, avec la garantie de Sonatrach. Sonelgaz offre quant à elle une garantie de plan de charge sur 20 ans.
Voilà ce que veut Boutarfa.
Et dire qu’à ce jour, il n’a pas encore compris pourquoi il a été viré…