Depuis qu’il a décroché, il y a une dizaine de jours, le marché du gardiennage de l’association Sonatrach-Sinopec, l’ancien Wali Baghdadi Laalaouna est la cible d’une certaine presse française, relayée par des médias algériens en ligne.
Pourtant, le succès réalisé par la société PGS de Laalaouna n’a rien d’exceptionnel. L’association Sonatrach-Sinopec, qui exploite les gisements de Zarzaïtine (au Sud Est du pays), avait lancé, le 10 janvier dernier un appel d’offres à l’adresse des société de gardiennage et de sécurité pour la prestation de gardiennage et de protection des sites et Installations Pétrolières du GSS/ZR.
Sept candidats étaient en lisse et au bout du compte, l’offre financière de PGS s’est avéré la plus avantageuse pour l’association. PSG de Baghdadi Laalaouna a ainsi décroché le marché pour un montant de 487,59 millions de dinars, pour un délai contractuel de 36 mois.
En décembre dernier, PGS avait remporté un autre contrat auprès de l’Entp (filiale de Sonatrach) dans les mêmes conditions de passation de marché. Au terme d’un appel d’offres, PGS a décroché un marché de protection de 4 bases implantées à Hassi-Messaoud et un (01) centre de vacances sis à Mostaganem.
De l’avis de tous les experts en HSE, PGS fait partie des société de gardiennage et de protection les plus fiables du pays. Elle est encadrée par d’anciens officiers et cadres de la Police de la Gendarmerie et de l’Armée et ne badine jamais avec les règles de sécurité.
La société appartenant à l’ancien Wali, âgé aujourd’hui de 82 ans, réalise depuis des années, un chiffre d’affaires oscillant entre 1,5 et 2 milliards de dinars. Baghdadi Laalaouna paye régulièrement ses impôts et ne souffre d’aucun litige avec l’administration fiscale.
Alors qu’est ce qui justifie cet acharnement dont il est victime de la part d’une certaine presse française?